Année académique 2024-2025 2Q
À distance
ESTÈVE Sylvie
Jour lundi 10:00-12:00
Nombre de séances 10 (Lu.13/01/2025,Lu.20/01/2025,Lu.27/01/2025,Lu.10/02/2025,Lu.17/02/2025,Lu.10/03/2025,Lu.17/03/2025,Lu.24/03/2025,Lu.07/04/2025,Lu.14/04/2025)
170.00 €
Erratum : dans le Cahier pratique, nous avons oublié les séances du 7 et 14 avril 2025
Dans la seconde moitié du XVIIe siècle, l’intérêt pour l’antiquité, le rejet du libertinage, le talent du peintre David, la Révolution ou la refonte de l’Académie conduisent à la création d’une typologie classicisante de la représentation du nu. Cette représentation, non exempte d’hypocrisie, domina le XIXe. Ingres apporte une touche d’érotisme à des thématiques classiques.
Courbet, au milieu du siècle, scandalise par ses nus réalistes et provoquants. Klimt et Schiele ouvrent la voie aux nus de style expressionniste. Avec les Avants-Gardes, le nu se géométrise, se déconstruit. Vallotton surprend. Modigliani provoque un scandale par des nus sensuels, à l’insolente pilosité ! Mais, c’est l’Angleterre, qui, en ce XXe siècle provoque l’émoi et révolutionne la représentation du nu avec les peintres, Spencer, Bacon, Hockney ou Freud !